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« Moi, je rêve d’un monde où chacun a sa branche de l’être »
C’est dans le cadre inspirant du Festival International du Film Écologique et Social de Cannes (FIFES) que Vincent Avanzi, autoproclamé « Chief Poetic Officer », livre une vision singulière et vibrante du monde de demain. Pour lui, l’avenir se rêve à travers la poésie — non pas comme un simple art contemplatif, mais comme un levier d’action et de transformation.
« Le poète, ce n’est pas juste un rêveur, c’est un acteur »
La poésie, rappelle-t-il, vient du grec ancien poiein, qui signifie créer. Dans cette perspective, le poète devient un artisan de société, un bâtisseur d’harmonie. « Est-ce qu’on peut tous contribuer avec notre singularité à l’avenir de l’humanité ? », interroge-t-il, appelant à faire de nos différences des forces créatrices.
« Ma passion, c’est de poétiser le monde par l’émerveillement »
Vincent Avanzi évoque une mission claire : éveiller les consciences par la beauté et la connexion. Toucher l’âme, le cœur, l’esprit. Pour lui, il s’agit de redonner sens et chaleur à nos interactions, d’imaginer ensemble un futur à la fois humain, convivial et durable. « Voir des nouveaux possibles et de nouvelles manières de rêver la réalité », c’est le cœur de sa démarche.
« Imaginer la co-création d’un nouveau film de l’avenir »
Loin de s’enfermer dans l’utopie, Avanzi prône un engagement poétique concret. Co-écrire, co-imaginer, co-habiter le monde. Il défend un avenir harmonieux, en symbiose avec la nature, où chaque être retrouve son propre rythme, sa voix, sa voie.
« Trouver son propre flot à soi »
L’eau devient ici métaphore centrale. Elle incarne la fluidité intérieure, mais aussi la relation au monde. « Le flot, c’est la magie qu’on a à offrir au monde », dit-il. Une magie personnelle, mais également universelle, à partager dans l’élan d’un monde plus fluide, plus juste, plus poétique.
SDZ + IA